Patricia Touboul - Maître de conférences des Universités / MCU
De l’Antiquité au XVIIe siècle, on s’attelle à définir la beauté physique en la rapportant à des caractéristiques objectives dont les théories des proportions ou la physiognomonie fournissent le cadre essentiel. Mais cet effort de rationalisation se trouve perturbé par divers facteurs qui, de la grâce et du je ne sais quoi en passant par la remise en question des canons de proportions, fait de la beauté un idéal constamment contrarié par les faits.