La BD exalte les actions patrimoniales (l’archéologue, ce héros), représente le patrimoine dans ses planches (Ramiro, Vasco), participe à « un sauvetage par l’encadrement » d’objets et de paysages, bouscule aussi le patrimoine (Prince Vaillant). Elle transmet une mémoire en se faisant passeur de littérature et de mythes plus que d’Histoire, crée des références culturelles communes et devient elle-même objet de patrimoine digne des musées. Elle est finalement un présent qui récupère du passé pour le transmettre au futur.